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J'essaie chaque jour de corriger les erreurs de la vie,
en faisant pour les autres ce qu'on a jamais fait pour moi.
Chris
Je suis né en 1960 à Orléans.
Très tôt, le jeune bambin que j'étais a compris que l'environnement était une école.
J'ai alors commencé à démonter tout ce qui passait à ma portée, laissant présager
une carrière dans le technique. Ce n’était pas de la destruction mais plutôt de l'intérêt.
Ensuite je remontais tout. Il faut dire que la famille ne roulant pas sur l'or et en l'absence
de jouets, je n'avais pas d'autre choix que d'assouvir ma curiosité naturelle
avec ce qui m'entourait.
Parmi mes nombreuses victimes, il y eu le vieux piano du salon.
J'ai commencé à en jouer seul à l’âge de 4 ans, sans jamais suivre
de cours ni même apprendre un solfège que je refuse encore aujourd'hui.
Je reproduisais alors tout ce que j'entendais à la radio. Une passion venait de
naître, qui ne m'a jamais plus quittée.
Premiers signes d'une très longue expérience de 45 ans de "piano-bar",
toujours sans solfège ni partitions...
Puis je me suis orienté vers l'électricité. A force de
bobiner du fil de cuivre autour d'un clou, à 8 ans, j'ai réalisé un
moteur électrique, le plus rustique qui soit, simplement constitué
d'une pile, d'un aimant et de fil électrique en forme de cœur.
En 1968 c'était une première
mais le bambin que j'étais ne le savait pas.
A cette invention, j'avais donné le surnom de "cœur artificiel".
Elle a marqué le début d'une longue carrière.
J'ai ensuite découvert l'électronique puis la "haute-tension".
A 12 ans, j'achevais la fabrication d'un générateur de rayons-X
à partir de vieilles carcasses de télévisions.
Avec un fer à souder de fortune, je passais mon temps à souder
ensemble des chutes de fils téléphoniques,
Voici un exemple avec ce globe terrestre
en fil de fer. J'ai ensuite passé des heures à le regarder
en rêvant de voyages.
Avec un morceau de tresse métallique, j'ai réalisé aussi
ce minuscule cobra, de seulement trois centimètres de haut,
sans même se douter qu'un jour j'en verrais de très près...
Alors que mes copains exhibaient fièrement des phalanges roussies par leurs
premières cigarettes, les miennes l'étaient aussi, mais pour d'autres raisons.
Les brûlantes expériences de la veille au soir avaient encore mal tournées.
Une nouvelle fois, j'avais dû évacuer en quatrième vitesse le grenier où je bricolais,
sous peine d'asphyxie. Les traces laissées sur mes doigts, attestaient encore
de la violence du foyer.
A cette époque, je croyais plus à l'extincteur qu'au bon dieu.
C'est naturel d'être différent.
Ce qui est compliqué, c'est d'être comme les autres.
Chris
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En parallèle, les programmes scolaires me paraissaient bien fades. Ils ne répondaient pas du tout à mon besoin d'épanouissement. Je collectionnais donc les zéros en dictée, mais excellais en travaux pratiques. ![]() |
J'ai ensuite acheté mon premier couteau suisse qui ne m'a plus quitté.
Au fond du grenier de la maison, armé de cet inséparable outil,
je tentais alors les expériences les plus farfelues.
Original et distrait, il n'était pas rare que j'enfile mon pull à l'envers ou que j'arrive à l'école avec des chaussettes de couleur différente. A l'âge où les autres écoliers ne soignaient que leur image, je restais plus concentré par mes inventions que par les éternels soubresauts de la mode ou qu'à me pommader le groin pour en chasser l'acné. |
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Après m’être laissé vivre pendant de longues années, on m'a classé
définitivement comme cancre, et j'ai fini par redoubler en sixième
de transition !
(Pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’y aller, sachez que le simple
fait d’ouvrir un livre était comme une déclaration de guerre envers le
reste des élèves. Ça finissait souvent en bagarre générale.)
J'étais alors le plus jeune dans cette classe où le redoublement était souvent
une tradition de famille. Ici, personne n'était là pour étudier. Seul le petit
Chris avait encore envie d’apprendre et visiblement, ça dérangeait les autres.
Afin de retourner dans une classe digne de ce nom, je me mis, cette fois,
à travailler.
Pour préserver mon indépendance, j'avais pris l’habitude de distribuer
quelques raclées autour de moi, sans attendre qu’on vienne les chercher.
Je pouvais ensuite ouvrir tranquillement mes livres.
Ainsi donc, après avoir éclaté plusieurs lèvres et repeint quelques yeux,
je fus rapidement classé comme "asocial et dangereux" par le reste de la meute.
Désormais, on m’évitait farouchement.
Le proviseur, las d’entendre relater mes péripéties, me convoqua pour trouver
un terrain d’entente. L’année suivante, je serai remis dans une scolarité
normale, en échange de bons résultats et d’un calme retrouvé.
Je travaillais alors d'arrache-pied et les résultats suivirent.
L'ex-cancre allait enfin pouvoir faire ce qui lui plairait ...
Une fois décroché un bac F3 (mécanique, électricité, électronique) dont les matières
apprises à Orléans ne me suffisaient pas, je compris vite que si je voulais approfondir
mes connaissances, je devais partir étudier à la capitale.
L’autre problème était que l'enseignement public de l'époque n'offrant aucune
des nouvelles disciplines qui m’intéressaient, il ne me restait que le privé,
mais c'était hors de prix...
A Paris, je réussi le concours d'entrée dans un bahut
coûteux pour "fils à papa" où les étudiants portaient costume cravate et venaient
en Porsche. J'étais alors le seul spécimen survivant d'une classe de transition.
Je découvris vite qu’aucun de mes camarades n’était là par choix, mais uniquement
sur décision des parents. Au niveau des résultats, ça faisait toute la différence.
Trahi par mes vêtements sortis tout droit de chez Emmaüs, je passais
rapidement pour un indigent nécessiteux infréquentable.
Dans un grand souci d'humanité, les autres élèves ne manquaient pas
de me le rappeler quotidiennement. Je m’en moquais et travaillais avec acharnement.
Malgré mes excellents résultats, les réflexions de mes gentils camarades commencent
à inquiéter le gestionnaire de l’établissement. Pour le rassurer, Je lui confessais
que je jouais du piano-bar pour financer mes cours !
Surprise du directeur ... qui finit par venir m’écouter jouer de temps en temps.
Chaque midi, l’ensemble des élèves se retrouvaient dans le même restaurant chic, pendant que dans un
autre, je jouais du piano le ventre vide, cerné d’amoureux qui déjeunaient aux chandelles.
Pas assez d’argent non plus pour un hébergement à Paris, alors chaque jour j'enregistrais mes cours
sur un petit magnétophone que je réécoutais au casque le soir, dans le train qui me ramenait à Orléans.
Pour économiser les piles, j'avais dû trouver une solution :
Je branchais discrètement deux fils sur le plafonnier du wagon.
Bien cachés derrière le rideau de la fenêtre, ils descendaient jusqu’à un petit montage
électronique « fait maison » qui transformait le 72 Volts du train en 6 Volts pour le magnétophone.
Depuis ce jour, écoute et rechargement gratuits des batteries.
Je fus vite découvert par le contrôleur SNCF qui ferma gentiment les yeux sur
cette pratique peu ordinaire, subjugué par l’ingéniosité du système et par cette détermination à
étudier coûte que coûte.
Le manque est constructif...
Chris
Grâce à bon nombre d’astuces du même genre, à un manque perpétuel de sommeil et à l’aide
inoubliable de quelques uns de mes professeurs, je suis parvenu à suivre, en parallèle,
les enseignement dispensés dans différentes filières, telles que : traitement du son et
de la vidéo, informatique, microélectronique, robotique, cybernétique,
intelligence artificielle, électronique moléculaire...
Voici ma réponse quand on m’interroge sur mes diplômes.
"A l'opposé de ces ingénieurs de pacotille qui vous citent leurs diplômes en guise de prénom, j’éprouve plus de satisfaction à m'être sorti d'une classe de transition, plutôt qu'à exhiber le moindre de mes titres. Cette discrétion à propos de mes qualifications, a d'ailleurs joué des tours à pas mal de gens. Quelques-uns, trop prétentieux, ont assez mal digéré leur comparaison avec une boîte de conserve. L'important n'étant pas l'étiquette, mais plutôt ce qu'il y a vraiment dans la boîte.
La compétition ne sélectionne que les plus conformes...
Il serait temps qu'on arrête de nous bassiner avec les diplômes. Pour avoir fréquenté, tour à tour, les cancres puis les tronches, je peux vous assurer que la mesure de l'intelligence ne se fait pas avec des titres. Elle se lit dans l'éclat du regard, et quand l'œil ne transmet rien, c'est souvent le signe que derrière, la cervelle est vide. Tous les diplômes du monde n’y changeront rien. Face à eux, les autodidactes ont cent fois plus de mérite. C'est l'envie d'apprendre qui les anime et elle reste la meilleure garantie de la réussite.
Depuis les bancs de l'école jusqu'au fond de nos entreprises, notre monde est gangrené de ces "tronches", avares de renseignements. Ils prétendent que tout est toujours compliqué, pour ne pas avoir à diffuser leur savoir, et verraient d'un très mauvais oeil, que vous en sachiez autant qu'eux. Ce refus de partager ses connaissances est le reflet d'un esprit étroit, souvent mal irrigué derrière une cravate trop serrée, tout juste bonne à empêcher la cervelle de dégouliner dans les godasses. En réalité, beaucoup de choses apparemment compliquées se révèlent fort simples, dès l'instant que quelqu'un prend la peine de nous les expliquer. Encore faut-il trouver une personne qui en ait envie. Je crois personnellement que la richesse est dans l'échange. C'est tellement agréable de transmettre ce qu'on a appris. Je reste convaincu que le partage des connaissances permettra un jour, à chacun, de s'instruire librement. Internet n'en est que le précurseur.
Chris
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J'ai eu la chance d'exercer bon nombre de petits boulots, aussi divers que gardien de zoo, preneur de son, cameraman, maquettiste, disc-jockey, traducteur technique, moniteur de colonie de vacances, instructeur de planche à voile ou maître nageur dans les eaux froides de Bretagne...
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... et même dessinateur.
Au cours de la grande époque des "radios libres"
(qui n'en avaient encore que le nom)
j'ai participé à la chute du monopole d’Etat
sur la radiodiffusion et à l'ouverture de la bande FM
aux multiples expressions musicales, culturelles et associatives.
Chaque soir, une partie de chat et de souris se jouait entre les
"animateurs pirates" et les "forces de l'ordre". Dès la tombée
de la nuit, les patrouilles de police sillonnaient la ville à la
recherche des maudites antennes, pour confisquer puis détruire le matériel.
Les émetteurs illégaux, très volumineux, devaient donc être
déplacés régulièrement.
J'ai alors mis au point un mini studio portable clandestin, de la taille d'une petite valise.
Composé d'un puissant émetteur embarqué
avec tout son matériel d'enregistrement et de prise de son, il pouvait
même fonctionner en pleine nature, depuis la batterie d'une voiture.
Jamais découvert, il fut utilisé jusqu'a la légalisation des radios locales.
Je suis alors passé de l'autre coté du micro pour animer mes propres émissions.
Aujourd'hui, après tant d'efforts pour obtenir une indépendance de la bande FM,
je déplore ce qu'elle est devenue: un média de masse, gavé de publicités, dont
le seul but est de garantir l’indice d’écoute.
Là aussi, "le profit et l'enrichissement ont tout détruit."
J'ai travaillé pour le cinéma.
On me retrouve sur plusieurs films, dont celui de Claude Lelouch
"Les uns et les autres".
J'ai aussi participé à de nombreux tournages mais cette fois
pour une autre de mes compétences, les "effets spéciaux".
Puis le service militaire.
Après le désert, on ne peut qu'aimer la plongée.
1986, l'année du 7eme CAMEL TROPHY
Au programme : 3300 Km à travers l'Australie.
C'était la plus longue édition depuis sa création.
C'était aussi la première fois qu'un équipage français pouvait
y participer. Chaque pays ne devait présenter que deux concurrents !
J'ai fais partie des 25000 candidats qui ont postulés. J'ai réussi
les nombreuses épreuves de sélection mais mon dossier n'a
finalement pas été retenu car je possédais déjà une expérience du désert
et, en cette année 1986, le CAMEL TROPHY ne souhaitait
se destiner qu'aux "amateurs débutants".
Dommage...
J'ai ensuite travaillé pour l'armement, où la diversité de mes
connaissances ont enfin été perçues comme un atout.
Après ma collaboration à la robotique des drones terrestres, j'ai continué sur la
sécurisation du radioguidage des drones aériens et les débuts du "vol en immersion".
Interception de communications, brouillage, chiffrement, analyse d'images, intelligence embarquée...
Puis j'ai intégré le département "études et développements fusées", pour la conception
et la mise au point de l’électronique des missiles dit « intelligents ».
En 1990, l'Irak envahissait le Koweït.
C'était la tristement célèbre "Guerre du Golfe ".
La France, qui faisait partie de la coalition internationale, participait donc militairement au conflit.
Très vite, les télévisions du monde entier diffusèrent en boucles les images des fameuses
"frappes chirurgicales" mais aussi des "dommages collatéraux".
En découvrant que la France vendait des armes aux deux camps, j'ai réalisé
que ma passion pour l'électronique m'avait conduit trop loin et
qu'il y avait mieux à faire que de participer à la conception de nouvelles armes.
J'ai aussitôt démissionné et quitté définitivement Orléans pour aller
m'installer dans le sud de la France.
Après un passage au "Centre National d'Études Spatiales" ( CNES )
Dans la "salle de lancement" du "Centre National d'Études Spatiales" ( CNES )
J'ai travaillé au service des calculateurs
embarqués a bord des automobiles, les fameuses "injections électroniques".
Entre temps, j'ai fondé "Les Experts",
Conseil Informatique International entre la France et le Japon.
En collaboration avec l'Ambassade du Japon, j'ai participé a réaliser des
programmes informatiques de formation au Japonais.
Pendant plusieurs années, j'ai animé un nombre incalculable d'heures
de visioconférences et de télé-interventions entre les deux pays.
C'est ce qu'on fait de notre temps sur Terre qui importe...
Chris
Cela fait plus de trente ans que j'ai jeté ma montre et que j'habite la région toulousaine.
je prétend toujours qu il faut "trouver son propre rythme ".
Passionné, rêveur, obstiné, je laisse rarement les autres décider pour moi.
Dans ce monde de servitude volontaire, on est responsable de son destin.
Chacun doit faire ce qu'il croit bon, sans attendre de consignes d'une
religion infantilisante, ou "l’esprit saint" éradique "l’esprit critique"
Je suis attiré par d'anciennes valeurs comme la courtoisie et le respect.
J'aime prendre mon temps, l'amitié, la confiance, la simplicité,
se soucier les uns des autres, le goût de l'entraide et du partage
que j'argumente de la façon suivante :
Chacun de nous détient, sans le savoir, la solution aux problèmes des autres.
Chris
je me désintéresse d'une politique dont les bulletins d'informations manipulent et divisent. je n'ai, d'ailleurs, toujours pas de télévision pour me dire ce qu'il faut voter, boire, manger, écouter, répéter ou penser de... Une télévision qui nous fabrique des certitudes. |
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La télévision, le cinéma, les jeux video, cultivent et banalisent une violence
qui nous fabrique les monstres de demain...
Eteignez vos télévisions, sortez de chez vous et parlez à vos voisins.
Chris
... sa vie par procuration, devant son poste de télévision.
Jean-Jacques Goldman
J'adore rire, jouer du piano, dessiner, jouer du piano, regarder gambader des écureuils,
jouer du piano, ne pas penser mais ressentir, écouter des slows, les sushi,
le Nutella, voyager... et aussi jouer du piano...
J'aime créer du bonheur là ou ça n'est pas nécessairement attendu
Chris
Ancien pompier volontaire, j'ai étudié plusieurs langues dont le Japonais.
J'ai toujours aimé enseigner, transmettre mes connaissances,
et prendre les commandes de toutes sortes de véhicules...
Plus que le but, c'est le cheminement qui enrichit.
Chris
...ou accorder un piano.
Fort de ma longue expérience du Piano-bar, je transmet
volontiers à quelques amis, ma méthode personnelle
pour jouer rapidement, sans partitions ni solfège.
Une technique révolutionnaire que j'ai mise au point très jeune,
et que j'aime à faire partager.
Ici, au Van Gogh de Toulouse, avant mon piano-bar...
... au "Bijou" de Toulouse...
... au "Salon de Vauban" des Cammazes.
Faire ce qui est bien, c'est le faire quand personne ne regarde.
Chris
J'ai horreur du foot et de l'esprit de compétition qui, d'après moi, pourrit tout.
Je n'aime toujours pas la chasse, la corrida, tuer pour se divertir, les cravates,
la croissance économique, le libre échange qui mène à la destruction des plus faibles,
le rendement, l'obsession de la performance, l'asservissement,
la dictature du matérialisme, la consommation frénétique,
la productivité à outrance qui rend les hommes malades et désespérés,
les cartes de fidélité, l'accumulation, la colonisation de l'esprit par la publicité.
Je préfère l'insuffisance à l'excès.
L'insuffisance est constructive mais l'excès est destructeur :
trop de tout, tue le désir, la curiosité, la délicatesse et l'ingéniosité.
Concernant la nature humaine, je suis convaincu que l'un
des plus grands progrès de l’humanité serait de pouvoir
détecter les pervers narcissiques a l’échographie…
Chris
Je me méfie des fausses promesses d'éternité commune à tous les marchands
de religion, de leurs manipulations entre espoir et crainte,
des leaders en général et ceux qui se prennent trop au sérieux,
tous ces théoriciens cravateux, qui ont si peu de savoir mais tellement de certitudes
et qui parlent au nom des autres sans jamais en partager l'existence,
tous ces politiciens de carrière et leur marché de la promesse, qui se servent au lieu de nous servir,
ces politiciens qui nous inventent sans cesse de nouvelles peurs
et qui les entretiennent avec soin, pour nous rendre dépendants, craintifs,
soumis, vulnérables, pour nous ôter tout jugement objectif et toute capacité à réfléchir.
...Agiter le peuple avant de s'en servir...
Le vote « démocratique » nous donne l’illusion du choix.
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La conception de ce logo de Pôle emploi a coûté la bagatelle de 500.000 euros... |
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...et celui de l'ANPE 2.4 millions d' euros ... Des croquis du niveau d'un enfant de CM2
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La publicité commerciale est une pollution qui nous pousse a un gaspillage scandaleux.
Pour "satisfaire les industriels", l'humanité pille, dévaste, pollue et légalise un
esclavage moderne ou le chômage est cultivé comme un instrument de chantage,
ou l'Homme n'est plus qu'une pièce fonctionnelle de la production, dans une société
totalement axée sur la consommation matérielle,
ou la maltraitance n'est plus une limite aux profits démesurés.
Des hommes qui sont "nourris pour servir les machines..."
L'homme est un primate prétentieux...
Chris
Dans ce monde d'asservissement légal, je déplore l'enseignement :
du marketing :
l'art d'influencer, de tromper, de manipuler
et du management :
théorie générale de l'exploitation. Gérer l'humain comme un engrenage pour faire atteindre
à certains, des objectifs de rentabilité maximum, définis et pécuniairement attendus par d'autres...
D'après moi, "on est vivant parce qu'on se parle".
Et j'ajoute :
"La violence du capitalisme a réduit l'ensemble des rapports humains à
des rapports marchands, ou le plaisir immédiat est devenu la règle.
Depuis que les valeurs de commerce ont remplacés les valeurs d’humanité,
nous sommes victimes d'un progrès économique qui va à l'encontre de l'Homme.
C'est la loi du profit maximum qui s'est substitué au bon sens, permettant ainsi
le massacre de l'intelligence humaine, dans un démantèlement silencieux,
tant industriel que social.
C'est grave de confondre "mieux être" et "avoir plus".
A titre d'exemple :
Savez vous que les prix des produits sont soumis à de brusques changements
et que la réaction du public est mesurée grâce aux fameuses cartes de fidélité.
La grande surface en tire un coefficient de consentement .
Je vous laisse le soin d'imaginer son but ... "
Et quand on me questionne à propos de mon expédition au Sahara
ou sur l'écriture de mon livre, je me définis toujours comme
écrivain amateur et cite simplement cette jolie phrase
de Marcel Pagnol:
"Tout le monde savait que c'était impossible.
Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait."
"Le délit suprême est d'avoir livré la beauté de la vie, à la vulgarité de la finance"
Pierre RHABI
Je dédie ce site à J.J GOLDMAN.
J'avais alors 18 ans. A cet âge malléable où l'on doute de tout, ses chansons avaient déjà un goût de vérité que les médias de l'époque n'ont pas su voir. Ce soi-disant « Chanteur à minettes », qui déplaçait les foules à chacun de ses concerts, a pourtant su montrer la direction à suivre à toute une génération d'ados. Celle qui permet d'aller "au bout de ses rêves". Alors sans lui, qui sait, aujourd'hui, je brûlerais peut-être des voitures…
CHRIS
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Invention de l'ancêtre du GPS. Le site officiel de Chris Saunier. Celui qui prétend que le désert est vide, doit apprendre à regarder...
Zèbre. Simca 1100 break voiture zébrée . Expédition Sahara 82. Vipère a corne. . JJ Goldman. Victorinox. Survie. conférence. céraste. . Simca zébrée Simca zèbre
Tournée au Japon. En 1980, ce passionné d'électronique met au point l'ancêtre du GPS.
Un appareil révolutionnaire qui permet d'indiquer précisément la position d'un véhicule, à la surface de la terre. Pour tester cette ultime trouvaille,
il en équipe naturellement sa propre voiture. Très vite, les résultats dépassent toutes ses prévisions. Devant le succès obtenu,
il décide alors de réaliser un vieux rêve de gosse : traverser le désert du Sahara, sans emprunter aucune piste !
Il est encore très loin d'imaginer le rude voyage qui l'attend. Après deux ans de préparation méticuleuse, il se lance enfin, seul entre ciel et sable,
sans aucun appui ni assistance. Il n'a alors que 21 ans, mais sa détermination et son enthousiasme le conduiront au plus profond d'un désert
où toute vie semble impossible. 100 % Vécu. "la SIMCA 1100 de mon père" moteur a hydrogène equirando
J'essaie chaque jour de corriger les erreurs de la vie,
en faisant pour les autres ce qu'on a jamais fait pour moi.